Apprécier le soleil qui vient de sortir derrière la colline et illumine les chênes...

... et l'aubépine

Saluer mes gentilles voisines

Admirer le travail de tronçonnage de Junior Azalée

Contempler la lumière

Tout simplement

Mise en route d'un nouveau projet de broderie: cette fois-ci, je m'embarque avec Léa Stansal: Tout est enguirlandé, le modèle Automne.

J'avais craqué pour ce modèle au Salon de Nantes, cette guirlande sur ce tissu "Cahier d’écolier" m'avait vraiment tapé dans l'oeil!

Quel bonheur de broder ces drôles de matières toute légères et colorées, mais surtout très faciles à travailler.

J'ai d'ailleurs refait du stock à Sainte-Marie-Aux-Mines

Vous trouvez le kit ICI

Un petit coin de verdure à quelques kilomètres de Fribourg, l'occasion de se promener au bord de la rivière.

A cet endroit, la Sarine y dessine un méandre au creux duquel se sont installés des moines cisterciens au XIIème siècle pour fonder l'Abbaye d'Hauterive

Un petit Paradis de verdure,,,

Promenade paisible au bord de l'eau

Comme la Sarine coule dans une région couverte de molasse, du grès, donc très friable, elle a creusé la roche et de magnifiques falaises entourent son lit.

Cueillette le long du chemin

Au retour, nous faisons halte à l'Abbaye

Les cloches sonnent et nous assistons à l'office de None, un moment paisible, juste se laisser bercer par le chant grégorien.

En ressortant, nous passons par le magasin monastique qui recèle de bonnes choses fabriquées sur place, mais provenant aussi de monastères de la Suisse et d'ailleurs. Avant d'entrer, la cour pavée avec ses galets de la rivière.

On aperçoit aussi le cloître (mais on ne peut pas y entrer)

Nous quittons le monastère en montant l'escalier couvert

Et nous croisons un moinillon qui part aux champs...

Pour terminer ma petite rétrospective du Festival de Patch en Alsace, quelques exemplaires du fameux Dear Jane ainsi que ses variantes...

Une version en noir et blanc très plaisante.

Une version Share Jane, un ouvrage collectif qui a traversé les océans

Et une interprétation en bleu et blanc très épurée et raffinée.

Et enfin, une exposition présentant les ouvrages d Edyta Sitar. A partir des chutes de tissu, elle réalise de magnifiques patchs dans le style traditionnel. Plus les morceaux sont petits, mieux c'est!

Beaucoup d'appliqués dans ces quilts, on constate qu'ils sont faits machine, tout comme le quilting.

Il n'en demeure pas moins que le travail est admirable!

Merci de m'avoir suivie sur les chemins du Val d'Argent!

Je vous souhaite une fin de semaine étoilée!

Au Carrefour Européen du Patchwork, ce sont des expos qui nous racontent des histoires, et même l'Histoire.

Par exemple l'histoire de ces quilts de secours rescapés de la Seconde guerre mondiale.

Des femmes mennonites des Etats-Unis et du Canada ont confectionné des milliers de qults pour les envoyer en Hollande, accompagnés de nourriture, répondant aux besoin des réfugiés et rescapés de la guerre. 

Contempler ce travail, ces tissus de récup certainement, leur état tout fripé, penser à leurs voyages, me touche énormément.

L'Histoire contemporaine racontée par une artiste, Brigitte Kopp, qui nous plonge dans l'actualité des migrations.

Une histoire plus joyeuse, celle de la broderie qui crée des liens à travers les frontières.

Des ouvrages réalisés à 4 mains par des Européennes et des Afghanes. Autres pays, autres cultures et autres techniques de broderie... Tout cela formant de jolies scènes autour du thème des jardins.

Des ouvrages ébauchés en Europe et envoyés en Afghanistan pour être complétés puis renvoyés en Europe pour le final!

Des photos présentent l'avant et l'après

Et pour terminer, l'histoire d'une patcheuse stupéfiante, Annie Agius.

Cette femme est en train de réaliser un immense ouvrage. La pièce (non terminée) exposée au Carrefour, faisait sûrement 10 m X 3 m.

Basée sur une technique unique, des petites barrières cousues main et machine, cet ouvrage donne le vertige!

Annie Agius souhaite battre le record du plus grand quilt du monde!

A suivre...

Pour la suite de la visite, je reste dans le traditionnel avec quelques photos de l'expo organisée par France Patchwork sur les quilts de Légende, dont une grande partie réalisés par Louise Marie Stipon. Un magnifique hommage aux quilteuses d'un autre temps.

Je vous montre surtout des détails car j'avais emmené un petit objectif léger, lumineux et ne permettant pas de grand angle.

A suivre...

Un week-end passé au Carrefour Européen du Patchwork en Alsace. L'occasion de passer 2 journées très joyeuses entre copines et d'admirer beaucoup de belles choses...

De la pluie, mais, comme d'habitude, beaucoup de chaleur dans l'accueil alsacien.

Un beau rendez-vous, également, qui a mis du soleil dans ces journées: la rencontre "en vrai" avec une blogueuse bretonne, Nadège. Quelle joie de pouvoir partager avec cette passionnée de fils et d'aiguilles!

Comme d'habitude, je vous emmène faire un petit tour dans les expos! Pour cette première publication, ce sera un retour aux sources du patchwork. Chaque année, Jacques Légeret expose des quilts amish, et cette fois-ci étaient présentée à ses côtés une expositions mettant en scène l'environnement du quotidien amish.

Mais surtout des quilts miniatures de toute beauté, inspirés des grands traditionnels, disposés sur des lits de poupées.

A suivre...

Un but de randonnée dont nous ne nous lassons pas, le barrage de Salanfe et son lac.

Nous laissons la voiture au fond le Vallon de Van, un peu au-dessus du camping qu'on aperçoit sur la photo.

Au départ du chemin, des "forêts" de sorbiers des oiseleurs tout en graines, ils sont incroyablement chargés et ploient sous le poids!

Malgré des chaleurs encore bien estivales, les couleurs au bord du chemin prennent des teintes automnales.

Le doré commence à s'installer.

A l'approche du barrage, les mélèzes sont encore bien verts.

Nous contournons le barrage par la gauche pour entamer le tour du lac

Face aux Dents du Midi

et à la Tour Sallière

Reflets turquoises

Le long du sentier de magnifiques bouquets de bois-gentil.

Vraiment rare de voir autant de fruits. Attention, ils sont très toxiques!

Nous arrivons vers le bout du lac. Le torrent glaciaire y a formé une sorte d'estuaire. 

Des masses de graviers sont ainsi déposées au pied de la montagne et on traverse une large plaine.

On rejoint l'autre rive du lac

Le col de la Golette dans le soleil et le Luisin à sa droite.

Une belle lumière  nous accompagne pour terminer le tour.

Pour la descente, c'est presque le même chemin.

Une excursion pas trop difficile (nous avons croisé pas mal de familles en redescendant): 10 km et 600 m de dénivelé.